Alexandre Bompard, PDG de Carrefour, n’est pas seulement un expert des chiffres et des tableaux Excel. C’est un architecte du malheur, un vampire du quotidien, un fossoyeur du pouvoir d’achat.
Derrière son sourire policé de technocrate, il orchestre avec une froideur chirurgicale l’appauvrissement méthodique de millions de Français. Il ne vend pas des produits, il vend l’illusion que Carrefour est encore accessible à tous, alors qu’il enfonce les consommateurs dans un enfer économique sans issue.
Cet as de la finance a surtout trouvé les bonnes pommes pour sa retraite dorée et le pire :
Sur son Facebook, il se prend pour Charles de Gaulle ?
Il oublie que lui c’est battu pour son peuple, il ne l’a pas fait crever la gueule ouverte !
Le dernier coup de génie du roi soleil ? Le rachat de Cora Forbach, un bénéfice juteux pour les actionnaires et une descente aux enfers pour nous, les consommateurs, une damnation pour le peuple.
Carrefour n’est plus un supermarché, c’est une prison à ciel ouvert pour les porte-monnaie. Les promotions sont des leurres, et les « engagements pour le pouvoir d’achat » sont aussi crédibles que la promesse du Smic à 1600 € net. Une fois la concurrence enterrée, les prix flambent, les réductions se raréfient et le panier moyen se transforme en gouffre béant.
Les familles comptent les centimes, renoncent aux produits frais, troquent la qualité pour la survie. Pendant que Carrefour continue de grignoter les restes du commerce français, les ventres grondent et la dignité s’effrite.
Les prix, les promotions sont des leurres et les « engagements pour le pouvoir d’achat » ont autant de crédibilité qu’un discours politique la veille d’une élection. Pendant qu’Alexandre Bompard trinque au champagne sur une plage privée, des millions de Français doivent faire des choix drastiques entre une barquette de steak haché et un litre d’huile.
Mais qu’importe, l’important pour notre grand stratège, c’est le bilan financier. Qu’un retraité doit calculer au centime près s’il peut se permettre un bout de camembert, c’est le cadet de ses soucis.
Son avenir est déjà tracé : une retraite dorée payée par des années de vampirisation des classes populaires.
Le plus ironique ? Carrefour continue de se présenter comme « l’enseigne préférée des Français ». Ah bon ? Peut-être des Français qui ont un compte en Suisse. Pour les autres, c’est surtout devenu le symbole d’un système où le profit d’une élite écrase la vie quotidienne du plus grand nombre de pauvres.
Alexandre Bompard, grand visionnaire du commerce, sait où il va : toujours plus haut, toujours plus riche. Et tant pis si en bas on crève la dalle pendant que ses finances crèvent le plafond.
Mais Bompard ne voit rien, n’entend rien, ne comprend rien. Il est trop occupé à calculer le rendement de son empire, perché dans ses tours de verre à se frotter les mains devant des courbes ascendantes.
Il n’a jamais mis les pieds dans un hyper, jamais ressenti l’angoisse d’une carte bleue refusée à la caisse, jamais connu la honte de reposer un paquet de viande parce que le budget ne suit pas. Il fait partie de ceux qui regardent la misère avec un mépris tranquille, persuadés que la souffrance des autres est un simple paramètre économique.
Une haute fonction qui plane trop haut !
Un empereur sans peuple : Alexandre Bompard n’est pas un capitaine d’industrie, c’est un colonisateur du quotidien, un pillard du porte-monnaie. Il ne gère pas un empire commercial, il administre un racket organisé d’une machine à broyer les faibles pour engraisser les puissants.
Il n’a aucun scrupule, aucun état d’âme. Pour lui, une mère de famille qui pleure parce qu’elle ne peut plus nourrir ses enfants, un étudiant qui saute des repas, un retraité qui doit choisir entre du beurre et ses médicaments, ce ne sont que des « dommages collatéraux ».
Et comment pourrait-il en être autrement ?
Ce grand stratège de la désillusion n’a jamais eu à se soucier du prix d’un kilo de pâtes. Issu de la haute fonction publique, il navigue dans un monde où la « France d’en bas » n’est qu’une donnée statistique. Il ne connaît ni les fins de mois difficiles, ni la galère des familles qui comptent chaque centime, ni la honte de devoir renoncer à un repas complet. Ni la honte de demander des pâtes à sa voisine pour nourrir son gosse.
Bompard et ses semblables ne marchent pas dans nos supermarchés, ils ne scrutent pas les étiquettes, ils ne subissent pas la réalité qu’ils nous imposent. Tant que les dividendes coulent à flots, le reste n’est qu’un bruit de fond. Un bruit de fond qui pourtant, pourrait un jour se transformer en une colère qui ne se contentera plus de gémir en silence, mais viendra le cueillir au pied de son lit !
Aux armes, citoyens ! À bas les oligarques !
Faite la guerre, plus de replis sur sois, plus de mort de faim !
David SCHMIDT:
J’ai écris à ce type: Voyons bien si j’ai une réponse !