Les campagnes et les villes françaises : des décors pittoresques pour les cartes postales, mais surtout le terrain de jeu préféré des politiciens qui brillent par leur absence. Oui chers concitoyens, pendant que vous essayez de joindre les deux bouts, nos élites jouent à la belote dans des salons dorés entre deux verres de champagne et un « chabichou des amis ».
Et là vous vous dites : « Mais pourquoi ça sent le pourri dans ce pays ? »
Spoiler alert : c’est pas le fromage.
La politique c’est comme un fromage à pâte molle laissé en plein soleil.
Ça dégouline, ça pue, et c’est infesté de vers. Vous vous sentez abandonnés ?
Normal, quand le pouvoir préfère chouchouter ses copains de loge maçonnique plutôt que ceux qui se lèvent à 6 heures pour faire tourner le pays.
La France, on l’aime… mais franchement, ça fout la gerbe parfois
Les Français restent attachés à leur pays, mais à quel prix ?
Entre une agriculture en berne, des commerces qui ferment, et une crise de l’emploi qui transforme nos jeunes en véritable globe-trotteurs … ou en « un être » déprimé, brisé et suicidaire !
La France, c’est devenu un abonnement à Netflix où chaque épisode est plus pitoyable que le précédent.
Pendant ce temps, les élus se congratulent sur leur dernier projet inutile financé par … vos impôts.
Voter ? Pourquoi pas un suicide collectif pendant qu’on y est !
Les sondages sont clairs : on n’attend plus rien de nos politiques.
Pourtant on continue à voter pour les mêmes comme si c’était un sport national. Les technocrates, ces génies du verbe qui nous promettent des lendemains qui chantent, mais qui livrent des nuits blanches.
« Alors autant filer les bulletins de vote à un chimpanzé sous caféine : au moins il aurait l’excuse de ne pas comprendre ce qu’il fait et en prime, il nous filerait un spectacle gratuit ! »
Les vieux devant Derrick, les jeunes devant un mur !
On parle souvent de nos aînés, coincés devant « Les Feux de l’Amour » en attendant la grande faucheuse.
Mais nous, la génération d’aujourd’hui, on va faire quoi ?
Prendre les armes avant 2030 pour éviter de finir comme eux ?
Parce que franchement entre un service hospitalier à l’agonie et le manque de médecins et la disparition des services publics, ça sent le sapin.
Et puis il y a cette justice à deux vitesses : un SDF vole un paquet de pâtes ? Prison.
Un politicien détourne des millions ? Une tape sur les doigts.
Un OQTF libéré, il tue et viol, vive la France.
Pendant ce temps, nos agriculteurs, ces héros de l’ombre, croulent sous les dettes.
Et pour les remercier ? On les laisse se débattre jusqu’au suicide pendant que nos élites débouchent une autre bouteille de Dom Pérignon.
L’éducation, ou comment produire des imbéciles heureux
Les écoles publiques ? Un endroit où vous garez vos gosses pour la journée histoire qu’ils apprennent des « compétences » qui leur permettront tout juste de remplir un formulaire Pôle emploi. Pendant ce temps, nos « pédagogues éclairés » veulent introduire des cours de sexualité dès 7 ans. Apparemment, c’est pour mieux préparer nos enfants à devenir des statistiques de l’horreur pour les pédophiles dégénérés.
Et si on nettoyait tout ça ?
Alors voilà l’idée : on se retrousse les manches et on fait un grand ménage de printemps.
Les élites corrompues ? À la guillotine (oui, je sais, c’est un peu radical, mais ça ferait de l’audience).
Les profiteurs et les parasites ? Dehors.
Les gourous de la grande distribution qui étranglent nos agriculteurs ?
Qu’ils aillent vendre des pommes de terre sur Jupiter.
On pourrait continuer mais bon, écrire un pamphlet de 100 pages c’est fastidieux. Et puis soyons honnêtes, les vrais changements ne se feront pas avec des mots. Alors chers amis, la prochaine fois qu’un politicien vous parle de « changement » pour gratter des voix, demandez-lui si c’est pour vous ou pour son compte perso.
Allez, je me casse.
David SCHMIDT
