Site icon David SCHMIDT

Pourquoi on nous déteste, nous les Français ?

Une plaisanterie que vous entendez très souvent à l’étranger :
« La France est le pays le plus merveilleux au monde, dommage qu’il y ait tant de français. »

Comme un pays est surtout son peuple, il est évidemment inconcevable d’aimer un pays et détester sa population. Bon c’est un peu vrai que nous les Français savent souvent irriter et agacer les étrangers.

La France a, pendant plusieurs siècles, été la référence en termes de goût, de chic, de culture etc. L’étranger en est souvent intimidé. Confronté aux sentiments de supériorité culturelle de beaucoup de Français cela crée facilement de l’irritation de part et d’autre.

Les Français parlent mal les langues étrangères mais sont, en revanche, extrêmement exigeants et intolérants vis-à-vis des étrangers essayant d’utiliser leur langue, de surcroît, une langue particulièrement difficile à comprendre.

Les Français ne sont pas toujours très aimables avec les étrangers. En Allemagne, par exemple, un autochtone va typiquement se plier en deux pour aider un touriste, chose nettement plus rare en France.

Dans un contexte qui implique plusieurs nationalités, le français a souvent du mal à s’adapter et peut être enclin à faire cavalier seul.

En France, et plus particulièrement à Paris, les touristes sont connus pour être la cible d’escroqueries et de pickpockets. Bien que cela puisse être frustrant et même effrayant, blâmer la France ou les Français n’est pas la bonne réponse ; les locaux souffrent aussi de ces crimes, et les touristes doivent toujours prendre des précautions pour ne pas devenir une cible.

À la place : Lorsque vous voyagez en France, en particulier dans les grandes villes comme Paris ou Lyon, veillez à laisser les objets coûteux à votre hôtel. Les bijoux et les appareils photo très chers peuvent faire de vous une cible de choix. Si vous portez un sac à dos ou un sac banane, mettez-le sur le devant plutôt que sur le dos. Ne portez pas de portefeuilles, de documents ou d’argent dans vos poches arrière.

Les Américains se sont rués dans les librairies et les bibliothèques à la recherche de la réponse à la question qui leur avait été posée : Pourquoi nous détestent-ils les américains?

Une chose amusante s’est produite sur le chemin de la guerre : Nos anciens alliés, les Français, plutôt que nos nouveaux ennemis musulmans, sont devenus les étrangers caricaturaux de la guerre contre le terrorisme.

Le New York Post, entre autres, a qualifié les Français de chefs de file de “l’Axe des fouines”.

Jonah Goldberg, de National Review, a fait de “cheese-eating surrender monkeys” une phrase de Groundskeeper Willie tirée d’un épisode des Simpsons, le cri de ralliement de tous les francophobes. Après l’embuscade tendue par la France à Colin Powell lors d’une réunion du Conseil de sécurité de l’ONU, au cours de laquelle le ministre français des Affaires étrangères a déclaré qu’une intervention militaire en Irak “serait la pire solution possible”, il ne faudra pas longtemps avant que quelqu’un ne déclare la nécessité d’un changement de régime à Paris.

Pourtant les Français sont des gens incroyablement accueillants et chaleureux toutes ethnies confondues. On lit souvent dans la presse populaire que les Français n’aiment pas les Britanniques, qu’ils détestent les Américains et n’aiment pas les étrangers, c’est complètement faux !

La petite ville de Villers-Bretonneux, en Picardie, illustre parfaitement le lien qui peut exister entre les Français et les étrangers, en l’occurrence les Australiens.

Le 24 avril 1918, la petite ville de Villers-Bretonneux fut le théâtre de la première bataille au monde entre deux forces de chars. Trois Mark IV britanniques contre trois A7V allemands. Les Allemands ont gagné cette bataille et ont pris la ville. Cependant, cette nuit-là et tout le jour suivant, les forces d’infanterie australiennes se battirent avec courage et acharnement pour sauver le petit village, qui fut repris par les 4e et 5e divisions de l’AIF, entraînant malheureusement la perte de plus de mille deux cents vies australiennes.

Un an plus tard, le maire de Villers-Bretonneux dévoila un mémorial en leur honneur en disant : “Les premiers habitants de Villers-Bretonneux à se réinstaller dans les ruines de ce qui était autrefois une petite ville florissante ont, par le biais de dons, manifesté le désir de remercier les valeureuses armées australiennes, qui, avec l’enthousiasme spontané et l’élan caractéristique de leur race, ont chassé en quelques heures un ennemi dix fois plus nombreux… Ils offrent une plaque commémorative, cadeau qui n’est que la moindre expression de leur gratitude, comparé au brillant exploit accompli par les fils de l’Australie… Soldats d’Australie, dont les frères reposent ici sur le sol français, soyez assurés que votre mémoire sera toujours entretenue, et que les sépultures de vos morts seront toujours respectées et entretenues…”.

Près d’un siècle plus tard, le lien qui s’est établi ce jour-là entre les villageois de Villers-Bretonneux et le peuple australien est toujours aussi fort. Le Mémorial australien de la guerre en France est situé à la périphérie de Villers-Bretonneux et devant lui reposent les tombes de plus de 770 soldats australiens, ainsi que celles d’autres soldats de l’Empire britannique impliqués dans la campagne.

Le village est jumelé avec la ville de Robinvale dans l’État de Victoria (à quelque 500 km au nord-ouest de Melbourne), dont le fondateur, Herbert Cuttle, l’a baptisé en l’honneur de son fils Robin, tué dans un combat de chiens au-dessus de la Somme, près de Villers-Bretonneux, en 1918.

Après les événements tragiques de la Grande Guerre, l’école de Villers-Bretonneux a été reconstruite grâce à l’argent légué par l’État du Victoria et aux dons des écoliers du Victoria (dont beaucoup de parents ont péri lors de la libération de la ville). La première pierre a été posée en 1921 et au-dessus de chaque tableau noir de l’école figure l’inscription “N’oublions jamais l’Australie”.

Il y a un petit musée dans le grenier de l’école et si vous voulez le visiter, il est ouvert le samedi après-midi. Vous pouvez aussi vous adresser à la mairie qui se chargera de l’organiser – si vous êtes Australien, vous serez accueilli très chaleureusement !

Après les attentats de Paris, la ville de Nice est sous le choc après qu’un camion a foncé dans la foule qui célébrait le 14 juillet.

C’est la troisième attaque majeure contre la France au cours des deux dernières années. Jeunes et vieux, hommes, femmes et enfants, musulmans, chrétiens, juifs, personnes de toutes religions, et celles qui n’en ont aucune, étaient rassemblés pour regarder le feu d’artifice sur la Promenade des Anglais. La célèbre artère qui serpente le long du rivage de la Méditerranée est désormais tachée de sang et de destruction.

Nous ne pouvons pas savoir ce qui a traversé l’esprit d’un tel tueur.

Mais qu’est-ce qui met le feu aux poudres dans ce cocktail Molotov d’agressivité ?
Selon le sociologue Olivier Roy, il ne s’agit pas d’une radicalisation de l’islam, mais plutôt d’une “islamisation du radicalisme”.

C’est une thèse controversée !

Il y a peu de preuves qu’un homme pratiquait sa religion, et encore moins qu’il était prêt à tuer et à mourir pour elle. Pourtant, il a déchiré sa propre vie ainsi que celle de centaines de personnes qu’il n’avait jamais rencontrées, non pas sur les champs de bataille de Syrie ou d’Irak, mais sur l’esplanade bien entretenue de Nice.

Nice, cependant, n’est pas seulement une destination de vacances. C’est une ville qui porte les profondes cicatrices du passé colonial de la France. Il est impossible de savoir quel rôle elles jouent dans la motivation d’un individu. Mais il est clair qu’un sentiment de grief social peut alimenter la radicalisation, qu’elle soit liée à l’islam, à l’idéologie d’extrême droite ou à la politique raciale, comme nous l’avons vu récemment aux États-Unis.

Faire des recherches sur l’histoire de ses premiers migrants arabes, vous en apprendrons d’avantage sur nos frères arabes et non sur les ennemies de la France !

L’autre côté de la carte postale

Le 14 juillet 1789, lorsque le peuple de Paris a pris d’assaut le château royal de la Bastille, Nice faisait partie du royaume de Sardaigne, pas encore de la France. Pourtant, de nombreux habitants de la ville étaient déjà inspirés par les idées et les actions de la Révolution, comme l’un des fils les plus célèbres de Nice, le révolutionnaire italien Giuseppe Garibaldi.

Trois ans plus tard, les armées de la Révolution avancent en Italie, et Nice vote en masse pour rejoindre la République française, pour la quitter à nouveau en 1814.

Ce n’est qu’en 1860 que Nice deviendra une partie permanente de la France, trente ans après que la France ait envahi et occupé l’Algérie. Pendant la Seconde Guerre mondiale, la région est occupée par l’Italie et Nice devient un refuge pour les Juifs qui fuient les persécutions de la France de Vichy, alliée de l’Allemagne nazie. Lorsque les Allemands s’emparent de la ville en 1943, ils déportent des milliers de Juifs pour les assassiner dans la Pologne occupée.

Lorsque les 132 ans d’histoire coloniale de la France en Afrique du Nord ont pris fin en 1962, plus d’un million de personnes ont quitté l’Algérie et d’autres la Tunisie et le Maroc pour “retourner” dans une France qui n’était pas la leur.

Parmi eux se trouvaient des Européens de différentes origines, de nombreux Juifs nord-africains et des musulmans qui avaient combattu pour les Français en Afrique. Ils ont été rejoints dans les trois décennies qui ont suivi par 700 000 musulmans algériens, attirés par le boom économique des trente glorieuses de la France après 1945.

L’économiste Thomas Piketty a identifié cette période d’après-guerre comme celle d’une croissance exceptionnelle des richesses, mais aussi d’une égalité croissante grâce à une fiscalité progressive et à des programmes publics.

Lorsque cette période s’est brusquement terminée dans les années 1970, elle a laissé une population toujours divisée par la race, la religion et les vieux ressentiments, désormais exacerbés par les difficultés économiques.

Avec le Grand Nord, le “Midi”, comme on appelle la partie méridionale de la France, a été particulièrement touché par la récession, avec un taux de chômage supérieur à 11,4 % pendant plus de dix ans après 1975.

Les mauvais souvenirs d’un passé colonial

À bien des égards, la côte méditerranéenne de la France est restée un monde colonial implanté. Marseille est devenue la ville à grande population arabe dont les faubourgs sont sales et surtout pauvres, tandis que Toulon et Nice sont devenus des bastions des pieds-noirs, les anciens résidents blancs d’Afrique du Nord, avec des logements à bas prix loin du centre.

N’oublions pas que dans l’Algérie, la Tunisie et le Maroc coloniaux, les musulmans ne pouvaient pas devenir citoyens français sans renoncer à leur statut de musulman. Seul un nombre infime d’entre eux a réussi à obtenir ce privilège.

En France, les musulmans ont pu obtenir la citoyenneté, mais des barrières invisibles ont continué à empêcher nombre d’entre eux de participer pleinement à la société. Des études récentes ont démontré que les musulmans sont constamment victimes de discrimination sur le marché du travail. La France n’a pas réussi à tenir la promesse de sa devise nationale : Liberté, Égalité, Fraternité.

Les pieds-noirs se sont également sentis abandonnés.

Ils se sentaient responsables d’une entreprise coloniale que la France voulait oublier. Ils se croyaient la cible d’un racisme que les autres Français préféraient ne pas reconnaître en eux. Une étude réalisée en 2006 a révélé que 44 % des pieds-noirs interrogés avaient voté pour le Front national (FN) dans le passé.

En effet, ils ont été un bastion de la montée de l’extrême droite dans la politique française. Ils ont voté pour le FN en dépit ou à cause de sa rhétorique raciste, antisémite et antimusulmane. Mais maintenant, les partis traditionnels récupèrent ces électeurs en adoptant le même ton.

Ailleurs en France, le racisme n’ose pas dire son nom.

À Nice, il est à la vue de tous. L’ancien maire, Christian Estrosi, par exemple, a remis en question le droit des personnes nées en France à recevoir la citoyenneté automatique. Il a qualifié les musulmans de “cinquième colonne” et a décrit certains immigrants comme n’étant français “que sur le papier”.

La décolonisation a été une étape cruciale dans la restructuration des politiques d’immigration en France car, au début des années 1960, les sujets coloniaux français sont soudainement devenus des étrangers.

Parallèlement, les anciens fonctionnaires de l’administration coloniale ont trouvé un nouvel emploi dans le secteur public de la France métropolitaine. Ce chapitre contribue au débat académique sur la continuité entre le passé colonial et le présent de l’immigration, en étudiant les fonctionnaires en charge de fonctionnaires chargés de décider qui peut entrer en France, pour y visiter et y travailler, et qui peut accéder à la citoyenneté française.

Il vise à analyser le pouvoir discrétionnaire des fonctionnaires et à exposer les normes qui sous-tendent leur pouvoir. Pour comprendre les enjeux de cette transition, le chapitre commence par établir une distinction entre la domination coloniale et la politique d’immigration. Il analyse ensuite les évolutions du début des années 1960 et la manière dont certains bureaucrates ont pu transférer leurs compétences et leurs pratiques.

Enfin, en analysant les dossiers d’immigration individuels, il montre comment cette transition a eu un impact sur les étrangers eux-mêmes. Les décapitations, les violences sexuelles, la torture et le laïcisme militant de la France coloniale dessinent un parallèle contemporain.

Le niveau d’arrogance qui se dégage du palais de l’Élysée ces dernières semaines, ces derniers mois, voire ces dernières années, est ahurissant. Surtout d’un point de vue social ou la grogne se ressent dans les rues, par le biais des manifestations et de la montée des votes pour l’extrême droite.

L’Algérie a souffert du colonialisme français pendant 132 ans, de 1830 à 1962, et les estimations algériennes suggèrent que 1,5 million d’Algériens sont morts des suites de la guerre au cours des presque huit années de lutte pour l’indépendance et de résistance à la barbarie française. Cela ne tient évidemment pas compte des meurtres et de la dépravation subis par les Algériens aux mains de l’occupant français pendant les 124 années d’occupation précédentes, et cette dépravation était absolument stupéfiante et totalement institutionnalisée dans sa portée.

L’un des principaux exposants et innovateurs du programme de torture français, le lieutenant général Marcel Bigeard, a pleinement admis l’utilisation par la France de la torture systématique et des exécutions par décapitation pendant la guerre d’indépendance algérienne.

Dans une interview accordée au journal français Le Monde en 2000, Bigeard a décrit la torture comme un “mal nécessaire”, mais a nié être lui-même activement impliqué dans la torture. Qu’il ait été directement impliqué dans le recours au viol, l’enterrement de vieillards vivants ou le versement de béton cimenté sur les pieds des victimes avant qu’elles ne soient jetées à la mer, appelées par dérision “les crevettes de Bigeard”  le général français est certainement responsable, tout comme ses collègues et supérieurs au sein du gouvernement français.

L’une des ironies de la vie est que les hommes responsables de ces atrocités ont vécu pendant l’occupation nazie de la France et étaient pleinement conscients des politiques génocidaires de cet État fasciste.

Parmi ces généraux et fonctionnaires se trouvaient des membres de la résistance française contre l’Allemagne nazie, qui n’avaient pourtant aucun problème à infliger des politiques similaires aux Arabes et aux Berbères, sans parler des crimes français en Indochine et ailleurs dans le monde.

Malgré tout cela, et la reconnaissance par le président Emmanuel Macron que la torture était systématiquement utilisée en Algérie, il n’y a notoirement pas eu de véritables excuses.

Et les Français devraient s’excuser.

Avec toutes les tortures, les violences sexuelles, les accaparements de terres, le prosélytisme laïc militant et les décapitations, nous n’aurions pas tort de décrire la France comme une version de Daesh datant de l’ère coloniale qui a réussi à forger un empire, contrairement aux terroristes d’aujourd’hui.

Bien que je répugne à utiliser la violence d’aujourd’hui pour aborder des événements qui se sont produits dans le passé, de peur de tomber dans le piège de l’anachronisme, ce qui s’est passé en Algérie est encore dans la mémoire vivante et les attitudes interventionnistes françaises en Afrique du Nord aujourd’hui sont très inspirées par leur histoire coloniale qu’ils doivent encore expier et excuser.

Les victimes de la sauvagerie française méritent mieux.

L’histoire bien documentée de la France en matière de barbarie très récente étant établie, nous devrions maintenant nous pencher sur ses fausses allégations selon lesquelles la Turquie se comporte de manière “criminelle” en Libye.

On ne sait pas exactement ce que les Français veulent nous faire croire de si criminel dans le fait que la Turquie apporte son soutien au seul gouvernement internationalement reconnu en Libye.

Contrairement à la France, la Turquie a été directement invitée à apporter son aide au gouvernement d’entente nationale. Le rôle de la Turquie est en totale conformité avec le droit international, contrairement au rôle de la France qui peut être légitimement décrit comme criminel, Paris ayant violé à plusieurs reprises un embargo sur les armes soutenu par l’ONU afin d’armer le seigneur de la guerre Khalifa Haftar.

La France a mis tous ses œufs dans le même panier et a cru qu’Haftar aurait balayé toute opposition avec ses armes et le soutien financier et militaire de l’Arabie saoudite, des Émirats arabes unis et de l’Égypte voisine.

Macron avait parié qu’une victoire rapide d’Haftar aurait conduit à des contrats de reconstruction français et à l’accès aux vastes réserves de pétrole de la Libye pour le géant pétrolier français Total. Aveuglé par l’opportunisme, Macron a foncé tête baissée dans le bourbier libyen aux côtés des forces antidémocratiques et s’est rangé du côté des dictateurs et autocrates arabes.

Dans la plupart des circonstances, Paris aurait eu raison de faire un tel pari. Cependant, ils n’ont pas misé sur une réponse turque robuste, rendue nécessaire par les accords qu’Ankara avait conclus avec le GNA et qui tournaient principalement autour de ses intérêts énergétiques en Méditerranée.

L’aide militaire turque a complètement bouleversé l’équilibre des forces et a fait fuir Haftar de la périphérie de Tripoli plus tôt, ruinant les plans de Macron.

C’est pour cette raison, et pour cette raison seulement, que Macron se sent maintenant sali et s’en prend de manière puérile à son allié de l’OTAN.

Cependant, la pétulance affichée par le président français est injustifiée, et compte tenu de l’histoire de la France en matière de brutalité en Afrique et du fait qu’elle n’a pas été invitée par les autorités libyennes légitimes, elle devrait réfléchir à sa propre criminalité passée avant d’accuser les autres.

Le peuple de France notamment dans les quartiers populaires, les habitants ont su trouver un “vivre ensemble” que les médias tentent à détruire par la stigmatisation des communautés. Ils sont responsables de la mauvaise ambiance qui y règne parfois en provoquant un reclus communautaire. Les politiques sont bien plus regardants sur leurs intérêts personnels plutôt que l’intérêt général. Des institutions sont corrompues par des élites qui sont eux-mêmes sous les ordres d’entités maçonniques que le peuple déteste et souhaite un modèle de politique candidat citoyen.

Les technocrates, les élus … Tous sont responsable de l’état social dans lequel est notre pays. La France a connu cela, et elle la résolu par une révolution, alors prêt pour un acte 2 ?

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