Le monde de demain

On est tous d’accord sur le fait dont a été gérée l’épidémie de coronavirus, dans notre pays, est loin d’être glorieuse et a laissé part à l’exaspération.

La rupture consommée.

Entre le vieux monde d’une vieille France et cette jeunesse qui ne se veut plus prendre place dans ce carrosse France, le monde d’après se dessine.

Des violences policières qui révoltent le peuple, un gouvernement incompétent à gérer une épidémie et un personnel hospitalier à l’agonie.

La France n’était pas préparée et de plus, elle s’est montrée mauvaise élève.

Derrière cela, des mensonges à répétition, des parties qui pointent du doigt les dysfonctionnements mais qui ne sont pas les donneurs d’exemple. Bref, cette crise qu’a traversée notre pays et ceux du monde entier laisse place maintenant à bien des réflexions.

Un divorce ne se fera pas à l’amiable, loin de là.

L’aube d’un nouveau réveille des gilets jaunes, perce le ciel de ces rayons et annonce une colère qui gronde, celle d’un peuple qui demande des comptes.

Il y a eu plus de solidarité entre nous, le peuple, que celle exprimé par notre gouvernement. Ils ont certes rincé l’amorce d’une certaine grondent avec une prime de 150e aux bénéficiaires des minimas sociaux. Il n’en reste pas moins que rien n’est plus beau que le sourire d’un homme, une femme ou enfant donné par cette chaine de solidarité mise en place par le peuple, pour le peuple.

Ces personnes qui ont partagé des denrées alimentaires, des sacs de provisions fournis par des tiers, des associations ou des établissements religieux. Ces restaurateurs qui ont donné de leur temps et leur argent pour le personnel hospitalier en leur offrant des repas. Ça c’est notre France ! Celle à nous, les citoyens de ce pays, en montrant l’exemple du vivre ensemble.

Le lobby pharmaceutique qui sous domination financière, cherche davantage à s’enrichir plutôt de nous guérir …

Je suis plus ému, en voyant des locataires accrocher une feuille à l’entrée d’un immeuble pour donner de sa personne afin de faire les courses à d’autres, donné de son temps libre pour son prochain…

Je suis plus ému, en voyant une vieille dame blanche qui n’a plus rien à manger et dont son voisin l’invite à retirer un colis alimentaire à la mosquée sans faire de distinction communautaire.

La solidarité, le vivre ensemble est en nous, en chacun de nous, nous savons comment le mettre en pratique lors des événements tels que la crise du Covid-19. N’attendant pas une coupe du monde pour exprimer la cohésion.

Soyons les acteurs de notre pays et soyons « nous » les représentants de la France de demain, pas celle que la dictature du ‘Reich En Marche » veut que nous nous soumettions.

David SCHMIDT