2025 : Une année en enfer sous le règne burlesque de François Bayrou
2024 était déjà une plongée abyssale dans les méandres de la crise
2024 était déjà une plongée abyssale dans les méandres de la crise.
2025 s’annonce comme une descente aux enfers sans lampe torche ni guide touristique. Les Français pris au piège d’un quotidien où tout coûte trop cher sauf l’indignation, continuent de survivre dans un paysage économique, social et climatique digne d’une grande farce nationale.
Bienvenue dans une année où la lumière au bout du tunnel n’est qu’un incendie géant.
Le quotidien des citoyens, entre pain rassis et fins de mois précoces
En 2025, faire ses courses ressemble à une expédition périlleuse. Les supermarchés, désormais équipés de détecteurs de solvabilité, ferment leurs portes à quiconque ne peut pas aligner 20 euros pour un paquet de pâtes.
Les fruits et légumes de saison ? Une légende ! Seule subsiste la boîte de conserve, un symbole de la déchéance culinaire nationale.
Les banques alimentaires déjà saturées en 2024, croulent sous une file d’attente digne des bouchons sur l’A4 en direction de Metz. On se bat pour une brique de lait et certains prévoient même des barbecues à base de cailloux histoire de ne pas perdre le goût des traditions.
Pendant ce temps, les loyers continuent leur ascension folle forçant de nombreux citoyens à choisir entre un toit et une assiette. Les squats se multiplient et les quartiers jadis animés ressemblent désormais à des décors de films post-apocalyptiques.
En 2024, l’inflation a transformé la baguette en produit de luxe.
En 2025, elle pourrait devenir carrément mythologique ! A ranger au musée aux côtés de la guillotine et de la monarchie. Pendant ce temps, les tickets de caisse ressembleront de plus en plus à des romans de science-fiction.
– Un camembert à 10 euros ? Vous plaisantez !
– Non Madame, c’est la France !
Les Français continueront donc à jongler entre loyers hors de prix et factures d’électricité dignes de Las Vegas et carburant à 3 euros le litre. À ce rythme, les voitures électriques pourraient devenir des œuvres d’art à contempler dans les musées aux côtés des bonnes idées de notre cher président.
François Bayrou, le chef d’orchestre de la symphonie du désespoir
François Bayrou avec son sourire figé et son discours rassurant comme une alerte rouge météo, reste aux commandes d’un navire en perdition. Le Titanic avait un orchestre, nous avons nous des ministres qui improvisent des réformes sur PowerPoint et de rhétorique du genre : « il faut faire quelque chose« .
Le président a promis un « choc ». Résultat : plus personne ne comprend rien.
La réforme des retraites est si complexe que même les experts abandonnent. Pendant ce temps, François imperturbable parle de « cap résolu ». Mais tout le monde sait que ce cap mène droit à l’abîme.
Les mesures pour 2025 ? De nouvelles taxes sur l’air respiré et un moratoire sur le droit de se plaindre et des campagnes publicitaires sur le thème « Être pauvre, c’est chic ! ».
Les sondages toujours plus impitoyable montrent un nouveau ministre aussi populaire qu’une gastro-entérite en plein réveillon. Son dernier discours ? Une œuvre d’art en termes de vide intersidéral.
– Nous sommes en crise, mais nous allons continuer d’être en crise avec dignité !
– Merci, François, on est rassurés.
Parmi ses grandes réformes prévues pour 2025 :
- La généralisation des pistes cyclables pour charrettes (bientôt on n’aura plus de voitures).
- La suppression de toutes ISF pour encourager les millionnaires à ne pas fuir le pays (ils fuient déjà).
- Un “Grenelle de la pauvreté” où les pauvres pourront débattre entre eux histoire de ne pas déranger les riches.
La planète crame et nous avec !
Pendant que François bricole des réformes inutiles, la planète continue de cuire. Les vagues de chaleur de 2024 semblaient insupportables ? Attendez 2025 où la température montera encore de plusieurs crans. Les forêts brûlent avant même que les barbecues ne soient allumés. Les villes suffoquent, transformées en étuves géantes.
Les élus locaux distribuent des « kits canicule » qui contiennent… un éventail en carton et un litre d’eau tiède.
Pendant ce temps, François Bayrou déclare : « Nous devons nous adapter ! » Traduction : débrouillez-vous !
Dans les campagnes, les agriculteurs abandonnent leurs terres trop arides pour produire quoi que ce soit. Les animaux meurent par milliers et certains commencent à parler d’un retour au rationnement comme en temps de guerre.
L’hiver 2025 devrait être le plus doux jamais enregistré au point que les stations de ski envisagent de se reconvertir en parc naturel. Les agriculteurs auront droit à une météo façon roulette russe, inondations en janvier, sécheresses en août et tempêtes de grêle en bonus.
François Bayrou a promis de « se pencher sur la question« .
Traduction : il attend qu’il pleuve (ou pas).
La France à genoux, le monde en feu.
Mais si la situation en France est critique, la scène internationale ne fait qu’ajouter une touche d’angoisse. Les tensions géopolitiques explosent, les conflits s’enchaînent et les réfugiés climatiques s’amassent aux portes de l’Europe.
Face à cela, la France affaiblie adopte une posture de résignation. On ferme les frontières, on ignore les cris d’alarme et on se recroqueville sur nos petits problèmes comme un pays qui aurait perdu toute ambition de grandeur.
2025, une année où l’espoir meurt à petit feu.
Si 2024 était une douche froide, 2025 sera un bain glacé avec des glaçons. Entre un pouvoir d’achat qui continue de chuter, des services publics toujours plus sinistrés et une classe politique déconnectée … Les Français peuvent s’attendre à une année pleine de désillusions.
Mais ne désespérons pas ! il reste toujours l’humour à la française, le vin rouge et le fromage pour survivre.
L’espoir, ce doux mirage n’a plus sa place en 2025.
Les sourires s’effacent, les rêves s’éteignent.
Et pourtant, au milieu de ce chaos un souffle persiste, celui de la rage, de la colère et peut-être qui sait, d’une révolte. Car si l’année à venir s’annonce sombre, la noirceur est le terreau des révolutions.
Alors chers lecteurs, 2025 sera pire. Mais qui sait ? Peut-être que cette descente aux enfers réveillera en nous l’instinct de survie que François Bayrou, nous aura permis de retrouver, malgré lui.
David SCHMIDT