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Les personnes vaccinées seraient-elles des « bombes biologiques à retardement » ?

Les porteurs/porteuses de "super-souches" de coronavirus.

Selon des avis médicaux compétents, se faire vacciner peut conduire le virus à s’adapter en mutant. Les nouvelles super-souches se propageraient ensuite à grande échelle…

Le meilleur moyen de renforcer son système immunitaire est de laisser l’organisme développer des anticorps de manière naturelle tout en conservant un mode de vie saint que nous pouvons facilement atteindre à l’aide d’un bon apport en micro et macronutriments (notamment de la vitamine D, C et du zinc ), une activité physique et un sommeil réparateur tout en évitant les aliments et les médicaments toxiques.

Pourtant, l’ensemble de la communauté « scientifique » mise en avant dans les médias semble omettre de nous faire part de ces informations et ceci a pour effet de fausser la compréhension de ces mécanismes dans l’esprit des gens dans le but de nous faire croire qu’un passeport vaccinal attestant de l’injection d’un produit douteux et expérimental est plus judicieux qu’ un « passeport anticorps » prouvant l’efficacité du système immunitaire d’un individu à même de vaincre l’agent pathogène.

La « science » moderne – si l’on ose l’appeler ainsi – veut nous faire croire que le corps humain, machine incroyable dotée naturellement d’un système de défense efficace n’est pas capable de lutter sans l’aide d’un vaccin. Cherche-t-on à nous soigner ou alors à servir les intérêts de l’industrie pharmaceutique et des actionnaires qui soutiennent les vaccins existant.

C’est un mensonge gigantesque et dangereux, et il est répété par presque tous les médias, les revues médicales et les « autorités » médicales du monde entier (dont la plupart travaillent pour le PCC afin de détruire les nations occidentales).

Les super-souches engendrées par la vaccination démontrent déjà une immunité totale aux vaccins existants. Les vaccins, en d’autres termes, ont déjà été rendus largement obsolètes.
Seul le système immunitaire humain inné peut gérer efficacement les mutations rapides et les vaincre dans la durée au lieu d’attendre plus de dix mois que l’industrie du vaccin lance une nouvelle « piqûre de rappel ».
Avec le vaccin, nous nous lançons dans une course poursuite sans fin contre les souches mutantes, exactement de la même manière que les antibiotiques poursuivent éternellement les superbactéries dans les hôpitaux
« Fauci, les NIH et le PCC avaient besoin de milliards d’humains pour servir d’usines d’armes biologiques afin d’accélérer leur ultime arme biologique génocidaire ».

Il s’avère que Fauci, les NIH et le PCC n’ont pas réellement réussi à construire une arme biologique mortelle qui anéantirait l’humanité. L’arme qu’ils ont construite – le SRAS-COV-2 – visait simplement à convaincre des milliards de personnes de prendre des vaccins qui transformeraient leur propre corps en usines d’armes biologiques afin que le développement de la mutation puisse ensuite se poursuivre à l’échelle mondiale.

De cette façon, le complexe militaire centralisé de vaccins pour armes biologiques a pu « décentraliser » son programme de développement en libérant une souche relativement bénigne dans la nature et en la faisant suivre d’un vaccin pour accélérer l’adaptation des super-souches. En fait, chaque être humain qui a reçu le vaccin est maintenant une usine à mutation ambulante qui produit des super-souches et les « répand » dans toute la société grâce à son passeport vaccinal.

Les personnes suffisamment ignorantes pour se faire injecter un vaccin expérimental seraient de véritables bombes biologiques qui constituent une menace pour la société. Les mondialistes le savent et, conformément à leurs objectifs d’extermination massive à l’échelle mondiale, ils donnent aux personnes les plus dangereuses et les plus contagieuses des « passeports vaccinaux » afin qu’elles puissent se promener librement et propager leurs super-souches virales à grande échelle. Encore une fois, tout cela est prémédité.

Les compagnies de croisière, les stades, les compagnies aériennes, les universités et d’autres organisations annoncent maintenant des politiques de vaccination obligatoire pour autoriser les personnes à reprendre leurs activités normales créant ainsi les conditions parfaite pour la propagation de nouvelles souches virales meurtrières.

Les personnes vaccinées seraient elles dangereuses à côtoyer ?

Il faut maintenant se demander si nous ne devrions pas appliquer les mesures de distanciation sociales que nous ne connaissons malheureusement que trop bien pour se protéger de ces armes biologiques humaines qui ont sont désormais les plus aptes à circuler librement. Par ignorance scientifique de nombreux volontaires contribuent à la réalisation du plan d’extermination massive pensé par nos élites : une pandémie que les vaccinés eux-mêmes rendront dévastatrice en faisant muter le virus in vivo. Si des mesures de confinement, des quarantaines et des masques devaient être exigés pour quiconque, ce serait pour les personnes vaccinées !

Cette expérimentation médicale sur des sujets humains vivants n’a rien à envier à celles du régime Nazi.
Lorsque la prochaine vague de décès arrivera, On peut s’attendre à ce que les médias accusent les non-vaccinés malgré la ségrégation mise en place. Rhétorique de détournement de situation largement utilisée dans la désinformation.

Dès les premiers mois de la pandémie de COVID-19, les lanceurs d’alertes ont mis en avant des faits démontrant que la crise sanitaire avait été orchestrée par diverses personnes et entités, notamment Bill Gates et les National Institutes of Health (NIH) du Center for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis.

LA VACCINATION DES ENFANTS

Faut-il vacciner les enfants pour sauver les personnes âgées ?

Cette option pourrait être moralement acceptable s’il s’agissait d’une vaccination sans risques et si nos élites qui s’acharnent à vouloir nous l’inoculer étaient des personnes honnêtes.
Les affirmations propagées par la propagande gouvernementale concernant l’utilité d’une telle démarche prouvent encore à quel point la mauvaise foi fait partie intégrante du discours politique et médiatique. Nous sommes supposés injecter à des enfants un vaccin dont nous ne connaissons encore pas les risques exacts pour prétendument protéger l’ensemble de la population et prendre ainsi le risque d’endommager leur organisme tout en ne mettant pas à l’abri les populations plus âgées.

Vers une humanité OGM ?

Un autre point inquiétant est l’implication de Bill Gates dans le financement des vaccins et leur campagne. Le Fondateur de Microsoft n’a jamais hésité à rendre publique sa philosophie selon laquelle des problèmes tels que l’émission de Co2 et la relance de l’économie pouvait être réglés par la réduction drastique de la population mondiale. Le milliardaire est aussi très proche de la firme criminelle Monsanto, experte en manipulation génétique et dépourvue d’une quelconque déontologie morale ou éthique.

Il est bien connu que dés lors que l’on joue aux savants fous en touchant aux gênes d’un organisme nous l’exposons dangereusement à des risques comme le développement de cellules malades ou encore la stérilité. Les appareils reproducteur encore en développement chez les enfants ne sont pas à l’abri d’être altérés suite à l’inoculation de cette thérapie génique si l’on ose appeler thérapie ce qui est en fait une expérimentation douteuse. Le fantasme franc-maçonnique de destruction de l’humanité passerait-elle par la stérilisation de ceux qui ne succomberont pas aux multiples injections prévue comme mesures sanitaire ?
L’utilisation d’enfants comme outils, peut importe la raison est inacceptable.

Pour les personnes instruites au sujet de la réalité du complot, il est tout naturel de s’opposer à la vaccination pour des raisons évidentes d’instinct de survie. Pour les autres, accepter la vaccination des enfants comme impératif catégorique équivaut à nier toute possibilité de risques liés aux effets secondaires et pose aussi quelques problèmes liés à la question du consentement de l’enfant.

Les campagnes de vaccination pourraient invoquer le concept de consentement présumé en supposant que si les enfants étaient en mesure d’accepter de prendre le risque de recevoir le vaccin pour leur propre bien et celui des autres, ils le feraient. Il s’agit là d’un postulat totalement erroné car l’efficacité des vaccins est discutable et que les laboratoires eux même refusent toute responsabilité concernant leur dangerosité.

David SCHMIDT

David SCHMIDT

Journaliste reporter sur Davidschmidt.fr. Chroniqueur radio sur Form.fr.

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