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L’exploration planétaire a connu une révolution scientifique, comparable pour l’astronomie à l’invention de la lunette au cours des quarante dernières années grâce aux sondes automatiques planétaires. Des grandes questions sur l’origine du système solaire, l’évolution des planètes, ou l’apparition de la vie sur Terre, et la stabilité des climats planétaires, sont aujourd’hui abordées de manière scientifique, et nous ramènent à d’autres questions plus proches de nous sur l’avenir de notre propre Terre.

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Depuis la nuit des temps, l’Humanité a toujours semble-t-il été fascinée par la voûte céleste, décrivant même des animaux, des personnages, envisageant des constellations, au gré des milliers d’astres visibles à l’œil nu. Allant parfois jusqu’à imaginer et adorer des dieux, des entités conscientes, à travers les planètes, le Soleil ou la Lune. De nos jours, et plus que jamais, en dépit du fait que nos connaissances se soient étoffées au fil des Ages, le Cosmos ne cesse d’intriguer, et l’on peine à ôter le voile opaque qui recouvre cet énigmatique Ensemble de tous les Ensembles. Et s’il est une question existentielle qui mérite d’être posée, c’est bien celle de savoir si la Terre est la seule planète à abriter la vie ou la conscience au sein de l’Univers.

Depuis la nuit des temps, l’Humanité a toujours semble-t-il été fascinée par la voûte céleste, décrivant même des animaux, des personnages, envisageant des constellations, au gré des milliers d’astres visibles à l’œil nu. Allant parfois jusqu’à imaginer et adorer des dieux, des entités conscientes, à travers les planètes, le Soleil ou la Lune. De nos jours, et plus que jamais, en dépit du fait que nos connaissances se soient étoffées au fil des Ages, le Cosmos ne cesse d’intriguer, et l’on peine à ôter le voile opaque qui recouvre cet énigmatique Ensemble de tous les Ensembles. Et s’il est une question existentielle qui mérite d’être posée, c’est bien celle de savoir si la Terre est la seule planète à abriter la vie ou la conscience au sein de l’Univers.

 

Les probabilités relatives à l’émergence de la vie demeurent faibles au vu des découvertes liées aux premiers organismes vivants de notre Planète. Les ingrédients composant le maelstrom, la soupe originelle, furent chacun dosé à juste proportion ; une molécule de plus ou de moins et l’inerte restait inerte, ou prenait un tout autre chemin. Dans l’absolu, il y a 100% de chance pour que la vie apparaisse dans l’Univers, et pour cause, nous sommes là pour en témoigner.

 

Mais ailleurs, qu’en est-il ? Est-il dénué de sens de supposer que dans ce vaste espace d’un rayon – observable – approximatif  de 14 milliards d’années-lumière*, il puisse exister une autre planète ayant rassemblé les conditions adéquates à l’émergence de la vie ? Et si c’était le cas, quelles caractéristiques pourrait-elle adopter via l’isotropie de l’Univers ? Une structure à base de carbone ? De silicium ? De l’eau ou de l’ammoniaque à titre de solvant ? Des questions, toujours des questions…

 

Cependant, face au présumé nombre astronomique d’évènements permettant la subtile organisation afin que la vie puisse voir le jour, il est un autre nombre tout aussi gigantesque, représentatif des systèmes stellaires susceptibles d’offrir les conditions adaptées, à raison de plusieurs centaines de milliards de galaxies au sein de l’Univers observable, chacune composée en moyenne de 100 milliards d’étoiles plus ou moins propices à héberger la source vitale.

Si l’on prenait seulement en compte 0,000 000 000 001 % (ne nous gênons pas) de tous les systèmes, pour ne retenir que ceux concernant un environnement “favorable” – disons pour 100 milliards de galaxies – ce seraient par conséquent 100 millions de systèmes où la vie aurait des chances de naître. Mais ce pourcentage à grandes décimales est peut-être exagéré.

 

Notre Système Solaire serait issu des résidus de l’explosion d’une supernova. Les configurations plus ou moins complexes, semblables ou différentes sont quasiment (?) infinies. Alors, en n’éludant pas le fait que seule une preuve formelle – disons “officielle” – puisse démontrer que nous ne sommes pas seuls, sur ce petit caillou voyageant dans l’insondable vide spatial, j’ose affirmer qu’il n’est peut-être pas dénué de sens d’estimer la présence du vivant banale partout dans l’Univers. Pourquoi uniquement chez nous ?

En outre, pour ce qui est de la “conscience”, d’autres êtres “intelligents”, les chances s’amenuisent a  priori, d’autant plus que ces propriétés s’avèrent bien plus rares selon la complexité – toute relative – sur le chemin de l’évolution. Au vu de toutes les espèces vivantes réparties sur notre Globe, la “conscience” est on ne peut plus insolite. Sur la Terre peut-être, mais ailleurs ? Au diable l’anthropocentrisme !

 

Venons-en au fait. A en croire Edgar Mitchell, scientifique et astronaute de renom, sixième homme à avoir officiellement foulé le sol lunaire, il existe bel et bien non seulement de la vie, mais également d’autres êtres “intelligents” ailleurs dans l’Univers, dotés d’une technologie sans commune mesure avec celle à disposition de l’Humanité ( => officieusement rétro-ingénierie humaine via engins récupérés ).

Selon lui, des extraterrestres visitent la Terre depuis fort longtemps, et certains êtres humains, dont lui-même, ont eu le privilège d’en être informés via les instances appropriées. Il affirme également que toute l’affaire liée à ces visiteurs est maintenue secrète par nos gouvernements depuis plus de soixante ans. Il persiste et signe, n’en démord pas, et il sait de source sûre – d’après ses dires – qu’il y a eu “contact” avec ces extraterrestres. Chacun(e) pourra se forger sa propre opinion quant à ses déclarations…

Caractéristiques des planètes du Système solaire
Nom Diamètre
équatorial[a]
Masse[a] Demi-grand axe
(UA)
Période de révolution
(années)
Inclinaison
sur le plan équatorial du Soleil (°)
Excentricité
de l’orbite
Période de rotation
(jours)[c]
Satellites Anneaux Atmosphère
Planètes telluriques Mercure 0.382 0.06 0.387 0.24 3.38 0.206 58.64 non négligeable
Vénus 0.949 0.82 0.723 0.62 3.86 0.007 -243.02 non CO2, N2
Terre[b] 1.00 1.00 1.00 1.00 7.25 0.017 1.00 1 non N2, O2
Mars 0.532 0.11 1.523 1.88 5.65 0.093 1.03 2 non CO2, N2
Géantes gazeuses Jupiter 11.209 317.8 5.203 11.86 6.09 0.048 0.41 67 oui H2, He
Saturne 9.449 95.2 9.537 29.46 5.51 0.054 0.43 62 oui H2, He
Uranus 4.007 14.6 19.229 84.01 6.48 0.047 -0.72 27 oui H2, He
Neptune 3.883 17.2 30.069 164.8 6.43 0.009 0.67 14 oui H2, He
a  par rapport à la Terre.
b  Voir dans l’article Terre les valeurs absolues.
c  Une valeur négative indique une planète tournant sur elle-même dans le sens inverse de la Terre.

Sources :
http://www.alterinfo.net/Sommes-nous-seuls-dans-l-Univers_a34123.html
https://fr.wikipedia.org/wiki/Planète

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David SCHMIDT

Journaliste reporter sur Davidschmidt.fr. Chroniqueur radio sur Form.fr.

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