Monde

En Grèce, des viols d’enfants en série

Des immigrés pakistanais impliqués

La police grecque a arrêté un Pakistanais de 20 ans qui a tenté de violer une fillette de cinq ans après avoir détourné l’enfant de sa mère.

L’incident s’est produit dans la région de Koropi, près d’Athènes, le week-end dernier. L’homme de 20 ans aurait attiré la jeune fille de cinq ans et aurait tenté de la soustraire à la surveillance de sa mère.

L’enfant a échappé à l’immigré pakistanais, employé d’un club équestre local, et a décrit ce qui était arrivé à sa mère qui a rapidement appelé la police qui a ensuite interpellé le Pakistanais.

Les enquêteurs disent qu’ils cherchent à savoir si l’immigré a pu ou non tenter des agressions sexuelles similaires dans le passé.

L’affaire survient quelques semaines seulement après le viol présumé d’un enfant de trois ans au camp de “migrants” de Kara Tepe, sur l’île de Lesbos. Le jeune enfant afghan, retrouvé inconscient et saignant, a ensuite été transporté dans un hôpital de Mytilène.

Quelques jours avant l’incident de Kara Tepe, un autre immigré pakistanais a été accusé d’avoir violé un garçon de huit ans sur l’île de Kos après avoir entraîné l’enfant dans un champ près d’un centre d’accueil pour immigrés. Le Pakistanais de 20 ans avait menacé de tuer l’enfant avant de le violer.

À Athènes, un autre Pakistanais, un trafiquant de drogue local, a été arrêté après avoir drogué, menacé, agressé sexuellement et violé des filles mineures dans son appartement.

Les deux filles, âgées de 16 et 17 ans, ont fini par s’échapper et sont allées chercher de l’aide auprès de la police alors que leur agresseur les poursuivait. Les policiers ont pu arrêter le Pakistanais à moitié nu. Lors d’une perquisition de l’appartement, les enquêteurs ont trouvé de grandes quantités de drogues, dont la drogue du viol, Rohypnol.

Une petite Afghane de 3 ans violée par un migrant.
La fillette retrouvée en sang dans le camp de Lesbos

Ce mardi, le ministère grec des Migrations a annoncé l’ouverture d’une enquête portant sur des soupçons de viol, après la découverte d’une fillette afghane de 3 ans retrouvée à moitié consciente et en sang lundi soir dans des sanitaires du camp de Kara Tepe, le camp de migrants de l’île de Lesbos.

“Les médecins du camp ont confirmé” l’information, précisent les autorités. Un médecin légiste doit examiner la victime et déterminer si elle a été violée.

Le camp de Kara Tepe abrite dans des conditions extrêmement difficiles plus de 7 300 clandestins, remplaçant ainsi le camp de Moria, réduit en cendres en septembre par un incendie criminel allumé par des migrants, afin de provoquer la pitié des dirigeants européens, et ainsi forcer leur installation en Europe.

Dans ce camp provisoire les immigrés, qui affluent de tout le Tiers-monde, préfèrent y supporter des conditions abominables plutôt que de retourner vivre ailleurs qu’en Europe, y compris dans leur pays d’origine.

L’Union européenne et la Grèce ont signé début décembre un accord pour la reconstruction d’ici à septembre 2021 d’un nouveau camp d’accueil pour les clandestins sur l’île de Lesbos, en remplacement de Moria, victime de l’incendie, mais aussi de celui de Kara Tepe qui le remplace depuis.

Pourtant, la véritable solution respectueuse des droits humains, serait d’abolir ces camps et de ne permettre la demande d’asile que depuis les délégations diplomatiques à l’étranger, ce qui éviterait à tout ce beau monde de déferler en Europe, et d’y mettre en danger des petites filles au milieu de cette guerre migratoire livrée à l’Occident.

David SCHMIDT

Journaliste reporter sur Davidschmidt.fr. Chroniqueur radio sur Form.fr.

Articles similaires

Donnez-nous votre avis sur cette article !

Bouton retour en haut de la page