FrancePolitique

Gauche au pouvoir : Mais que va devenir la France ?

Ces Français qui ont vendu leurs âmes aux urnes !

La pédophilie, le sexisme, raciste et antisémite…
gauche/droite, une histoire de longue date …

Les médias mainstream ne vous diront jamais;
– les pédophiles sont plus de gauche et bien souvent de groupuscules sectaires !
Oui votre chère élite française et un club de riche qui ne savent plus comment assouvir leur soif de pouvoir, perde parfois le contrôle du bien et mal, se sente au-dessus du vous et au-dessus des lois.

Donc rincer se petit monde a coup de corp imberbe d’enfant pour mieux les maintenir dans le cercle, car une fois les pied la dedans, vous ne pouvait plus en sortir … ou les pied devant.

Alors vous aurait un tas de petit bobo qui viendront me dire que je suis complotiste … Si vous souhaitez la vérité, demandez à Rachida DATI si la pédophilie est à droite où à gauche (voir) !

Certain riche se paye en toute impunité, dans d’autre pays, des enfants puis revenir sur notre sol tranquillement. Les mêmes qui parfois accusent d’apologie de la pédophilie contre des personnalités associées à de gauche et quand les pédophiles militaient dans les rangs LGBT … À l’extrême-gauche, les discours fétichisant les enfants, et de façon encore plus marginale, l’apologie des rapports érotiques avec des enfants, apparaissent comme une remise en cause des interdits.

En 1975, Daniel Cohn-Bendit, écrit dans le livre Le Grand Bazar, publié aux éditions Belfond, au sujet de son expérience d’éducateur dans un jardin d’enfants « alternatif » à Francfort :

« Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : “Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi vous m’avez choisi, moi, et pas les autres gosses ?” Mais, s’ils insistaient, je les caressais quand même ».

Il regrettera plus tard ses propos et ses écrits, parlant de provocation destinée à « choquer le bourgeois des années 1970 ». Le journal L’Express estimera ensuite en 2001 que Daniel Cohn-Bendit, comme les auteurs d’autres propos analogues avaient : un véritable aveuglement : l’enfant, croyaient-ils, ne demandait qu’à exprimer sa sexualité, et c’était l’interdit qui constituait un abus sexuel.

Cette complaisance, qui a servi d’alibi et de caution culturelle à bien des pédophiles, masque aussi une autre réalité, l’infantilisme d’une mouvance.D’autres militants d’extrême-gauche ont aussi été accusés d’avoir fait l’apologie de la pédophilie dans les années 1970, pour avoir remis en cause la surveillance des enfants les empêchant d’assouvir leurs désirs, ou critiqué les formes de pouvoir réprimant les rapports sexuels entre majeurs et mineurs

Si le Front populaire passe, qu’en sera les affaire du type « Coral », dite également affaire du lieu de vie, qui n’est qu’une affaire d’abus sexuels sur mineurs ayant éclaté en France en 1982. Très médiatisée à l’époque, passé sous silence aujourd’hui, l’affaire se signale par la mise en cause de plusieurs personnalités publiques, laquelle donne lieu à un certain soupçon de manipulation d’origine politique, policière et médiatique.

« Quand on enferme la vérité sous terre, elle s’y amasse, elle y prend une force telle d’explosion que, le jour où elle éclate, elle fait tout sauter avec elle. On verra bien si l’on ne vient pas de préparer, pour plus tard, le plus retentissant des désastres. » (Émile Zola, « J’accuse »).

Mais il n’y a pas que çà !

Depuis des semaines, la question n’est pas la place des juifs ou des musulmans, mais l’avenir même de notre « Universalisme républicain » , celui-là même qui nous permet le vivre ensemble. En cela, la plateforme commune signée par toute la gauche est une catastrophe, car elle valide la stratégie de LFI. Par l’accord passé, les sociaux-démocrates au mieux restent silencieux, tétanisés à l’idée de perdre quelques pourcentages ou sièges, au pire cautionnent et valident la méthode de « conflictualisation permanente » des Insoumis.

L’essayiste Lydia Guirous critique l’approche d’une partie de la gauche qu’elle définit comme « identitaire ». Pour elle, « ils croient lutter contre le racisme en ayant pour obsession la race et la couleur de l’autre ». Longtemps réservées à l’extrême droite, les critiques envers la « pensée woke » se font de plus en plus fréquemment entendre à gauche de l’échiquier politique. Doit-on y lire une « droitisation » d’un pan de la gauche en décalage avec son époque ? Ou ces querelles témoignent-elles plutôt d’une profonde scission entre deux conceptions de l’individu et de la société qui n’arrivent plus à dialoguer ?

Le piège est là et il se referme inexorablement sur les démocrates et républicains français… La question n’est pas d’être « avec ou contre les juifs », « avec ou contre les musulmans », comme voudraient le faire croire LFI et ses candidats… Être contre l’antisémitisme, être contre le racisme, l’homophobie, l’islamophobie, la cathophobie c’est tout simplement refuser cette assignation à résidence identitaire que prônent les Insoumis et qui est mortifère pour la République. Quand des représentants de la nation jouent dangereusement avec la vie politique française, en utilisant à des fins électoralistes les pires ressentiments, ils ne nourrissent que les extrêmes et détruisent la boussole morale dont ont besoin nos concitoyens dans cette tourmente.

Où sont les voix de gauche pour affirmer avec force que le problème de l’antisémitisme ce n’est pas uniquement le problème des juifs ? C’est celui de la République et de la France. Que le racisme n’est pas le problème des immigrés. C’est celui de la République et de la France.

Sensibilisons nos concitoyen(ne)s sur le racisme anti-musulman, les femmes sont les premières victimes de l’islamophobie. D’où viennent les préjugés, la haine et la peur qui contaminent de plus en plus de citoyens ? Quelles sont les causes, les motivations de ce racisme structurel ? Quelles sont les conséquences pour tous les citoyens français ? Comment briser le consensus sur la question identitaire ? Quelles seraient les propositions pour construire une société plus démocratique ?

Le prix du chaos

Quelles que soient leur histoire, leur origine, couleur, religion, ils ont composé et écrit en français, planché ensemble sur Rimbaud, Olympe de Gouges, Voltaire… Chacune de leurs pages écrit l’histoire de notre France universaliste. Cela nous rappelle que notre pays, même de façon imparfaite !, donne à chacun la chance d’être libre de son passé. Notre responsabilité, c’est bien d’être à leurs côtés et de faire France avec eux.

David SCHMIDT

Journaliste reporter sur Davidschmidt.fr. Chroniqueur radio sur Form.fr.

Articles similaires

Donnez-nous votre avis sur cette article !

Bouton retour en haut de la page
Social Media Auto Publish Powered By : XYZScripts.com